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						 PIERRE REVERDYhttp://es.wikipedia.org/wiki/Pierre_Reverdy
 
 Poeta nacido en Narbonne, Francia. Desde su llegada a París en 1910 mantiene
						relación con Picasso, Braque, Juan Gris, Max Jacob y Apollinaire. En 1917
						crea la revista Nord-sud y después de su conversión al catolicismo
						en 1926 se retira a la abadía de Solesme en dónde continuará
						escribiendo hasta su muerte en 1960. Sus obras más importantes son, La lucarne
						ovale (1907), Les ardoises du toît (1918), Le voleur de talan (1917), Ferraille
						(1937) y Le Chant des morts (1946).
 
 “La poesía no se encuentra en la realidad, sino en el sueño y la
						ilusión del hombre. La vida, para el hombre sería insoportable sin
						ella. Por eso, buenos o malos, no hay épocas sin poetas.”
 “El valor de una imagen, su poder emotivo, dependen de su origen y formación,
						según haya sido vista primero, o que no pueda ser visible sino después,
						según haya sido tomada a ras de suelo o que haya ascendido espontáneamente
						a posarse sobre nuestra cabeza”
 “La poesía está en lo que no es. En lo que nos falta. En lo que desearíamos
						que fuese. Es en nosotros por lo que no somos. Por lo que desearíamos ser”
 Pierre Reverdy MÉMOIREPierre Reverdy (1889-1960)
 
 Une minute à peine
 Et je suis revenu
 De tout ce qui passait je n´ai rien retenu
 Un point
 Le ciel grandi
 Et au dernier moment
 La lanterne qui passe
 Le pas que l´on entend
 Quelqu´un s´arrête entre tout ce qui marche
 On laisse aller le monde
 Et ce qu´il y a dedans
 Les lumières qui dansent
 Et l´ombre qui s´étend
 Il y a plus d´espace
 En regardant devant
 Une cage où bondit un animal vivant
 La poitrine et les bras faisant le même geste
 Une femme riait
 En reversant la tête
 Et celui qui venait nous avait confondus
 Nous étions tous les trois sans nous connaître
 Et nous formions déjà
 Un monde plein déspoir
 MEMORIA
 Pierre Reverdy (1889-1960)
 Traducción del francés al castellano
 
 Un minuto sólo
 Y regresaré
 De todo lo que ha pasado nada he retenido
 Un punto
 El cielo se expande
 Y en el último momento
 La linterna que pasa
 El paso que se escucha
 Alguien se detiene entre todo lo que pasa
 Se deja ir al mundo
 Y lo que hay dentro
 Las luces que bailan
 Y la sombra que se extiende
 Hay más espacio
 Mirando delante
 Una jaula de la que salta un animal vivo
 El pecho y los brazos hacían el mismo gesto
 Una mujer reía
 Girando la cabeza
 Y aquel que venía nos había confundido
 Estábamos los tres sin conocernos
 Y formábamos ya
 Un mundo pleno de esperanza
 Laura Baro MartínEstudiante de ESO 3A
 lbaro@e-quercus.es
 VICTOR HUGOhttp://es.wikipedia.org/wiki/Victor_Hugo
 
 Victor Hugo est l´un des écrivains plus importants du Romantisme français.
						Il est né à Besançon le 26 février 1802 et il est mort
						à Paris en 1885. Il épouse une amie d´enfance, Adèle et
						ils ont cinq enfants. Il écrit des romans, des poésies et des pièces
						de théâtre. On peut citer quelques titres tels que Hernani, Notre-Dama
						de Paris, Les travailleurs de la mer, Quatre-Vingt-treize, les Misérables,
						où il défend les pauvres de la societé, etc On peut visiter
						la maison de Victor Hugo qui se trouve place des Vosges à Paris. Ensuite,
						je veux vous montrer l´un des plus beux poèmes .
 À MA FILLE ADÈLE(Recueil : les quatre vents de l´esprit)
 
 Tout enfant, tu dormais près de moi, rose et fraiche
 Comme un petit Jésus assoupi dans sa crèche;
 Ton pur sommeil était si calme et si charmant
 Que tu n´entendais pas l´oiseau chanter dans l´ombre;
 Moi, pensif, j´apirais toute la douceur sombre
 Du mystérieux firmament.
 Et j´écoutais voler sur la tête les anges;
 Et je te regardais dormir, et sur tes langes
 J´effeuillais des jamins et des śillets sans bruit;
 Et je priais, veillant sur tes paupières closes;
 Et mes yeux se mouillaient de pleurs, songeant aux choses
 Qui nous attendent dans la nuit.
 Un jour, mon tour vientra de dormir; et ma couche
 Faite dómbre, sera si morne et si farouche
 Que je n´entendrai pas non plus chanter l´oiseau
 Et lanuit sera noire ; alors ô ma colombr
 Larmes, prière et fleur, tu rendras à ma tombe
 Ce qui j´aifait pour ton berceau
 Sandra Sánchez
						RodríguezEstudinate de ESO 4
 ssanchez@e-quercus.es
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