|  |  | LA MODE EN FRANCE.
 
 Après la Seconde Guerre Mondiale,
						la production des vêtements est surtout marqué par l´émancipation
						du corps de la femme, préparée par Paul Poiret, puis par Coco Chanel
						et l´industrialisation accrue. La démocratisation du vêtement
						va de pair avec une proliferation des mouvements de la mode des adolescents, inséparables
						des courrants musicaux. Il n´est plus si facile de réduire la mode au
						prestige d´une élite définie, ni au souci de distinction au sens
						sociologique du terme.
 Grace aux médias, la caste spectaculaire, vedettes, artistas et, finalement,
						top models, fournit à la societé des modèles de consommation.
						Cette bourgeoisie de l´apparence appartient toujours à la réaliteé
						socio-économique, mais semble en être détachée.
 
 Dans les années 1960, l´uniformité était plus manifeste
						que la volonté de se distinguer. Le jeans trionphe en France à partir
						de 1967. Il constitue l´uniforme de la jeunese mondiale, garçons et
						filles, en regretant le vêtemenet “bougeois”. Pendant les années 1980,
						les mouvemente de mode, pops, hippies, BCBG (Bon chic, Bon guerre), baba, cools,
						punks, New way, pirates, etc dressent des diferentes modes, mais aussi une pensée
						par rapport aux normes établies.
 
 La compétition dans les looks semble cependant s´être calmé
						au profit de l´éclectisme inspiré de la world music. On notera
						aussi le succés de la silhouette sportive à l´américaine:
						survêtement, t-shirt, casquette et chaussures souples, ainsi que le retour
						aux élements de mode des années 80.
 
 Enfin, pendant les années 2000, deux tendences semblent s´imposer en
						parallèle: d´un côté, l´aspect des vêtementes
						tend à devenir moins important que la marque, expresión du pouvoir
						d´achat du cosommateur et de la philosophie de la vie auquelle il s´identifie.
						De l´autre côté, la mondialisation et la concurrence ont entrainé
						la fusion des groupes de l´industrie de la mode et du luxe. Les necesites liées
						à la rentabilité, ont augmenté le nombre de collections par
						an, tout en faisant et défaisant les modes en très peu de temps. À
						l´inverse on a pu observer un rejet de la mode en tant que stigmate de la consommation
						à outrance, avec le phenomène “No logo”, en referente à l´ouvrage
						de Naomi Klein, figurant en 2000 sur la liste de Gardien Award, puis paru en France
						en 2001.
 
 La mode contemporaine exprimerait à la fois une certaine attitude grégaire
						et le rejet de toute appartenence à une catégorie déterminée.
						L´adolescence n´est pas une classe d´âge éphémère.
						L´élite des médias semble vivre dans un monde irréel,
						inestable. Il en va de même por les manequins. Comme il existe aussi une fascination
						récente por le monde gay, qui contexte les rôles sexuels traditionnels.
 
 http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_mode
 
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